Mon dîner avec André
d’après le scénario du film My dinner with André de Louis Malle, de Wallace Shawn et André Grégory
traduction et adaptation René Fix
Interprétation
François Clavier, Claude Guyonnet et Christine Nissim
Mise en scène
Gerold Schumann
Scénographie
Pascale Stih
Costumes et perruques
Chantal Joguet
Musique et bande son
Bruno Bianchi
Lumières
Uwe Backhaus
Création 2005
Production Théâtre de la vallée, coréalisation Le Lucernaire, Paris, Théâtre Berthelot, Montreuil
Avec le soutien de l’ADAMI, de la Caisse d’Epargne Ile-de-France Nord et de la Ville d’Ecouen
L’auteur est représenté dans les pays de langue française par l’Agence MCR, Marie-Cécile Renauld, Paris, en accord avec Casarotto Ramsay & Associates Ltd, London.
Le spectacle
Deux vieux amis, Wallace Shawn et André Gregory, se retrouvent après de longues années de séparation, dans un restaurant français de Manhattan.
Représentant deux points de vue totalement opposés sur la vie et le théâtre, et des courants différents de la société américaine des années 60 et 70, le romantico-mystique André et le terre-à-terre Wally défendent chacun leur position tout en dégustant un bon repas.
Ce dîner étrange, où le doute, la désillusion et l’amitié sont au menu, va servir de cadre à la plus humaine des interrogations sur l’artiste et la place de l’art dans nos sociétés modernes.

LA PRESSE EN PARLE
La juste distance, pour qu’alors pèsent les mots, les idées. Des grands interprètes, fins précis, sensibles, qui savent aussi ce qu’il y a d’humour.
Armelle Héliot, Le Figaro
Un affrontement à fleurets mouchetés du pauvre et du riche – des comédiens sont magistraux dans cette comédie de la pensée moderne.
Gilles Costaz, Zurban
Claude Guyonnet et François Clavier sont des interprètes délicats. Tous deux ridicules, pathétiques, mais plus encore douloureux.
Didier Mereuse, La Croix
La représentation, merveilleusement mise en scène, s’est transformée en pur moment de jubilation, de sincérité, d’humour et d’émotion.
Yves Bastide, L’Echo Républicain, Chartres
Entre le terre à terre et le romantique, l’échange deviens confrontation.
Juliette Corda, Le Parisien
La mise en scène juste et la fine interprétation théâtralisent cet échange d’idées de grande valeur. Non, la culture ne se consomme pas, elle se cultive ; mieux, elle se vit…
Pierre Corcos, Réforme
REPRÉSENTATIONS PASSÉES
La Grange à Dîmes – Ecouen (95)
Théâtre Berthelot – Montreuil (93)
Le Lucernaire – Paris
Théâtre de Chartres (78)
2005, 4 représentations
2005, 12 représentations
2005, 43 représentations
2005, création – 1 représentation